Le Berkeley à Rennes, Pyramide d’Argent 2020 en immobilier d’entreprise
Publié le 6 novembre 2020
C’est à la jonction entre la ZAC Technopolitaine Atalante Beaulieu et de la ZAC Via Silva que Lamotte signe un nouvel ensemble d’immobilier tertiaire Le Parc Bellefontaine – une co-réalisation Lamotte, Giboire et Arc. Au cœur de cet ensemble, Lamotte, implante 2 immeubles de bureaux : Le Berkeley et Le Stanford. Ceux-ci font la part belle à une architecture audacieuse orientée vers le bien-être des usagers et s’ancrent dans une réelle démarche environnementale. Conçu pour faciliter les usages avec son organisation autour de noyaux centraux, Le Berkeley participe pleinement au dynamisme économique de ce nouveau poumon de développement de l’agglomération rennaise.
Sommaire :
Présentation du Berkeley, programme immobilier tertiaire
L’aménagement de ce site de 7 hectares a été conçu en étroite collaboration et sous les directives de l’architecte-urbaniste de la ZAC Via Silva, Christian Devillers. Lamotte réalise donc ici deux immeubles Le Berkeley et Le Stanford, qui s’étendent sur 7 898 m² de surface utile :
- 2 484 m² pour Le Berkeley ;
- 5 414 m² pour Le Stanford.
Il s‘agit donc de bureaux neufs, divisibles, au pied de la future ligne B du métro Atalante. Avec leur architecture soignée, signée par le cabinet A/LTA Architectes. Le Berkeley et Le Stanford s’inscrivent parfaitement dans le paysage. Pour coller à la topographie du lieu, les 2 immeubles proposent des volumes et hauteurs variées. Chaque bâtiment revendique ainsi une identité propre pour créer ensemble, sans excès, une véritable entité.
Les 2 bâtiments, R + 6 pour Le Stanford et R + 4 pour Le Berkeley proposent 3 niveaux de parkings, soit 8 280 m² de surface de plancher et 207 places de stationnements.
Conjuguer travail et bien-être
L’ensemble des bureaux seront livrés rafraîchis, aménagés et non cloisonnés. De larges ouvertures sur l’extérieur apportent lumière et confort aux utilisateurs. Une attention particulière a été, en outre, portée au confort thermique et acoustique des bâtiments afin de privilégier le bien-être des occupants. C’est aussi dans cet esprit que les extérieurs ont été pensés. Les espaces libres sont engazonnés et plantés d’arbres, douze d’essences différentes, soit près de 24.5 % du total de la surface, pour permettre aux usagers de se ressourcer le temps d’une pause et faire rimer bien-être et travail.
Grâce à tout cela, les 2 bâtiments bénéficient de la certification WELL Building Standard. Un tout nouveau label qui se focalise sur le bien-être des occupants des bâtiments plutôt que sur les bâtiments.
Une démarche environnementale
Outre les arbres et gazons, Le Berkeley a été conçu dans une approche environnementale :
- une végétalisation en fonction des usages ;
- les économies d’énergie et de fonctionnement ;
- un niveau de performance thermique supérieur à la RT2012.
Une végétalisation en fonction des usages, avec notamment une toiture végétalisée est présente sur les immeubles. Ce traitement végétal de la « 5e façade » doit permettre de satisfaire au confort visuel du voisinage et améliorer la rétention des eaux de pluies sur la parcelle.
Les économies d’énergie et de fonctionnement sont anticipées avec le double vitrage et stores intérieurs sur toutes les façades. Les luminaires sont équipés de lampes LED et commandés par sonde de présence et sonde de niveau d’éclairement.
La conception de l’ensemble immobilier permettra d’avoir un niveau de performance thermique supérieur à la Réglementation Thermique 2012 (RT = niveau de performance correspondant au label BBC RT2005). Le bâtiment aura la certification BREEAM « Very Good ».